Résumé :
Louisiane, 1975. Dans la pénombre de l’église, une fillette supplie le prêtre de l’aider : un homme étrange qui se dit son ami la suit partout, mais elle est la seule à le voir, personne ne la croit ! Elle s’appelle Cassandre, elle est terrifiée, et le prêtre ne trouve pas les mots... la fillette s’enfuit.
Dix ans après, à New York, quand Cassandre tombe follement amoureuse, la peur revient : le fantôme qui la hante depuis son enfance n’acceptera jamais de rival...
Détails sur le produit
Taille du fichier : 1763 KB
Nombre de pages de l'édition imprimée : 360 pages
Word Wise : Non activé
Langue : : Français
ASIN : B007X3U96W
Éditeur : Éditions de l'épée; 1er édition (10 mai 2012)
Mon avis :
Novembre 2020
Je viens de découvrir René Manzor avec ce livre.
Enfin, non pas lui, mais son style. Et la seule question qui m’est venue une fois que je l’ai eu fini (pas René, son livre, rrooooo suivez un peu) : mais pourquoi ne l’ai-je pas lu plus tôt ?
Peut-être parce que tu ne le connaissais pas avant, me répondrez-vous ? Ah c’est ça.
Et pourtant, j’avais vu Le Passage, il y a de nombreuses années, qu’il avait réalisé, et pour lequel j’avais écouté en boucle la magnifique BO, On se Retrouvera, sans savoir à l’époque, que c’était une histoire de famille tout ça… J'avais même beaucoup pleuré dans ce film avec un Delon magistral... Enfin, là n'est pas le propos !
Je ne pourrais jamais assez remercier Stéphanie Farias d’avoir vu que ce livre me plairait et que je pourrais aimer l’écriture.
Et ô combien il m’a plu ! Il réunit tout l’univers que j’aime.
Les esprits, les possessions, les relations entre êtres humains, l’aventure, les histoires qui se coupent, se découpent et s’entrecoupent. Rien que le thème, j’étais plus qu’intriguée et tentée. Puis le style.
Nom d’un bigorneau érudit en culotte courte, quel style ! J’ai dévoré les mots, les phrases, les chapitres. Je ne lisais pas un livre, je lisais un film ! Des phrases simples qui font passer les émotions.
Toutes les images se déroulaient dans ma petite tête fatiguée et lui permettait de s’évader le temps d’un scénario. N’ayant pas pu le lire d’une traite, je l’ai vécu comme une série. Hâte de retrouver les héros le lendemain et bouillir de connaître la suite jusqu’au grand final. Et quel final ! J’ai deviné certaines petites choses, mais simplement parce que mon esprit est tellement habitué à ce genre de rebondissements et d'histoires, que j’aurais presque été déçue si je m’étais trompée ! Voilà, j’ai lu un film. Et j'ai adoré.
Rares sont les bouquins qui me donnent cette sensation et lorsqu’on connaît ma passion pour le cinéma et les séries, qui dépasse celle de la lecture, c’est évident que c’est le combo parfait. Il est évident que je vais tenter un autre et la façon dont René parlait d’Apocryphe dans son live sur Des livres et des SPINS n’a fait que me convaincre qu’il sera le suivant.
Un auteur que je vais suivre, sans aucun doute possible.
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